Avoir froid ou mal, c’est encore être vivant.
Résumé :
Elle est belle, attirante, disponible. Il n’a pas hésité à la suivre pour prendre un dernier verre. À présent il est seul, dans une cave, enfermé dans une cage. Isolé. Sa seule compagnie ? Sa séductrice et son bourreau. Et elle a décidé de faire durer son plaisir très longtemps. De le faire souffrir lentement. Pourquoi lui ? Dans ce bras de fer rien n’est dû au hasard. Et la frontière entre tortionnaire et victime est bien mince…
Mieux qu’une armada de caméras de surveillance : une mamie postée derrière une fenêtre !
Le pire, c’est ce venimeux silence qui l’enveloppe tout entier, l’absorbe chaque jour un peu plus. S’infiltre sournoisement dans sa tête jusqu’à remplir les failles que le désespoir y a creusées.
Mon avis :
Aaaah Quel bonheur de retrouver l’écriture de Karine Giebel !
Un huis clos glaçant, angoissant et cruel ! Karine et son style toujours aussi efficace avec un rythme soutenu qui nous fait passer de l’espoir à d’autres moments terrifiants jusqu’à un final hallucinant !
L’ambiance de ce roman est sombre et oppressante !
Et les personnages très bien construits qui nous inspirent des émotions contradictoires. Benoît est un sal type, mais sur ce coup la il est la victime et à évoluer à coter de lui à certains moments, il devient attachant.
Sa tortionnaire, elle, a souffert dans son passé, ce qui la rend touchante. Mais ce qu’elle fait aujourd’hui est effroyable. On oscille donc dans nos sentiments pour ces deux personnages !
Il y a d’autres personnages à découvrir, tout aussi intéressant et surprenant !
Du grand Karine Giebel avec une grosse touche de sadisme ! 😂
Satisfaction : 85 %
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J’ai trouvé qu’il y avait trop de scènes répétitives, mais la fin est absolument fabuleuse !