Il était une fois, le Père Noël qui avait beaucoup, beaucoup de travail car Noël approchait. Un jour, il dit à ses lutins et ses lutines :
– Je suis trop fatigué pour continuer. Il me faut des vacances.
Le Père Noël commença à faire ses bagages : un maillot de bain, ses lunettes de soleil, un short, un tee-shirt, un pull et sa pierre préférée. Il entassa tout ça dans sa valise et mit celle-ci dans son traîneau. Il fit ses dernières recommandations à ses lutins et ses lutines et leur dit au revoir.
Il commença son voyage dans le ciel. Tout à coup, une méchante sorcière apparut.
Elle lui dit :
– Pour arriver aux îles Hawaï, il te faudra réussir deux épreuves. La première sera d’entrer dans les îles Hawaï malgré mes robots. Quand tu y seras arrivé, dit « Gribouille » bien fort et j’apparaîtrai.
Et la sorcière disparut. Le Père Noël était découragé. Tout à coup, un craquement lui fit tourner la tête. Il vit un superbe oiseau de toutes les couleurs. Il fut très surpris d’entendre l’oiseau lui parler.
– Je m’appelle Zipa. Je suis un oiseau magique. Je vais t’aider. Cela fait longtemps que les robots tentent de m’attraper. Je pourrai les attirer. Pendant ce temps-là, tu entreras dans la première île. Allez, j’y vais.
Et le Père Noël vit s’éloigner Zipa. Puis il alla chercher son traineau. Il le mit de façon à pouvoir voir quand les robots partiraient. Il se dit :
– Ouf ! Je vais bientôt être en vacances.
Tout à coup, les robots se mirent à courir dans tous les sens pour attraper Zipa.
– C’est le moment, se dit le Père Noël ; j’y vais.
Et le traîneau s’éleva dans les airs. Quand il arriva sur l’île, il vit que les robots tentaient toujours d’attraper Zipa. Alors, il cria :
« Zipa ! je suis arrivé sur l’île. Tu peux repartir. Merci !
Alors, Zipa repartit. Le Père Noël appela :
– Gribouille !
Et la sorcière apparut.
– Me voici, mais ce n’est pas fini. Il faut encore que tu combattes les robots. Quand tu auras terminé, appelle-moi. Ha, ha, ha, ricana la sorcière.
Le Père Noël était plus découragé que jamais. Dans son dos, une grosse voix le fit sursauter :
– Je suis l’ours de l’île. Je vais t’aider à les combattre à la condition que tu ailles chercher un pot de miel tombé dans une crevasse. Je suis trop gros pour y descendre, dit le gros ours.
– Marché conclu, dit le Père Noël, angoissé.
L’ours le conduisit vers la crevasse. Elle était peu profonde et très étroite. Le Père Noël y descendit, chercha le pot, le trouva, remonta joyeusement et le tendit à l’ours enchanté.
– Voilà, dit le Père Noël.
-Merci, dit l’ours.
Puis ils repartirent en direction des robots. L’ours s’avança, leur donna à chacun trois grosses tapes, leur enleva leurs piles et revint triomphant, vers le Père Noël.
-Merci ! tu m’as rendu un grand service, lui dit celui-ci.
– A moi aussi, répondit l’ours.
Puis il s’en alla. Le Père Noël appela :
– Gribouille !
La sorcière apparut. Elle avait l’air triste et honteuse :
– Tu peux passer tes vacances aux îles Hawaï. Tu as gagné. Et elle repartit.
Le Père Noël plongea dans la mer et fit quelques brasses pour se remettre de ses émotions. Il passa quatorze jours aux îles et repartit au grand Nord. Là, il fut accueilli par mille questions :
– C’était bien ? dit un lutin.
-Tu as nagé ? dit un autre.
-Les îles étaient belles ? dit une lutine.
Le Père Noël soupira :
-Oui, mais quel plaisir de vous revoir !
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