Après le triomphe de sa trilogie Vernon Subutex, Virginie Despentes fait son grand retour en librairie avec Cher connard (Grasset). Avec ces Liaisons dangereuses ultra-contemporaines, elle signe un roman de rage et de consolation, de colère et d’acceptation, où l’amitié se révèle plus forte que les faiblesses humaines. Revue de presse d’un livre incontournable de la rentrée littéraire.
RÉSUMÉ
« Elle est sur tous les fronts, la romancière au Kärcher, dans ce roman qui frise parfois l’essai et qu’elle déroule dans une langue unique et savoureuse, avec son style coup de poing, à l’oralité maîtrisée – teintée d’humour – faussement désinvolte et riche en fulgurances. »
Marianne Payot, L’Express
« […] il s’y dit énormément sur notre monde contemporain, ses violences, ses injustices et, face à elles, le désarroi de l’individu. Toutes choses que l’autrice de King Kong Théorie, 53 ans, met au jour et creuse avec acuité, colère, pénétration et empathie. »
Nathalie Crom, Télérama
« En attendant que la société évolue, Virginie Despentes, elle, ne change pas. Et raconte, avec Cher connard, comment les interactions sociales, aussi décevantes, toxiques et déstabilisantes puissent-elles être, sont aussi capables de donner naissance à une amitié salvatrice. »
Sophie Rosemont, Vogue
« Aussi étourdissant que bouillonnant, Cher connard, grande fresque post MeToo, est aussi une ode à l’amitié, empreinte d’une étonnante douceur. »
Pauline Leduc, Madmoizelle
« Si Despentes nous écrivait autrefois de chez les moches, pour les moches, sa Rébecca-Béatrice démontre toutefois implacablement que chez les belles, c’est exactement le même misérable sexisme qui pourrit les vies et nous assujettit tous, femmes et hommes. […] ce Cher connard est le roman rock qui va faire sauter en l’air la rentrée littéraire. »
Agnès Léglise, Rock & Folk
« Et l’on est ravis de retrouver Virginie Despentes qui mobilise toujours Nancy, le passé et les années punk et frime qu’on a adorées dans Vernon Subutex, pour éclairer un aujourd’hui persillé de masques et de covid, mais où la société a changé parce que les femmes parlent et qu’elles nous font réfléchir. Reste à savoir si les connards, eux aussi, peuvent changer. »
Yaël Hirsch, Toute La Culture
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