Chupacabra, est une créature fantastique qui aurait des yeux rouges, deux trous pour les narines, une bouche avec des crocs saillants vers le haut et vers le bas et serait sans poils. Elle possèderait deux marques arrondies à l’arrière de la croupe, de part et d’autre de la queue et ressemble selon certains amérindiens à une chauve-souris ou au prétendu extraterrestre de l’Affaire de Roswell.
Le Chupacabra fait partie de la culture populaire dans toute l’Amérique latine, notamment au Mexique et sur l’île de Porto Rico. L’animal se nourrirait en suçant le sang des animaux de ferme, comme les chèvres ou les vaches, en faisant des trous parfaitement circulaires dans le cou jusqu’au cervelet, tuant l’animal en ne provoquant aucune souffrance.
Historique
Le terme chupacabras (littéralement « suceur de chèvres ») est supposément inventé par une personnalité de la télévision portoricaine, Silverio Pérez qui utilise ce nom comme une blague, mais le mot est également utilisé en 1990 dans le roman de Michael Crichton, Jurassic Park, qui paraît avant la légende.
La légende du Chupacabras débute autour de 1992, lorsque des journaux portoricains El Vocero et El Nuevo Dia commencent à rapporter la mort de plusieurs types d’animaux, comme des oiseaux, des chevaux et, comme l’indique le nom de la créature, des chèvres. À ce moment, le chupacabra est connu sous le nom de « El Vampiro de Moca » puisque les premières victimes sont trouvées dans la petite ville de Moca. Au tout début, les membres d’un culte satanique sont soupçonnés d’avoir commis ces tueries au hasard, mais ensuite, les tueries s’étendent autour de l’île, et plusieurs fermes rapportent la perte de vies animales. Les carcasses ont toutes une chose en commun : chaque animal trouvé a un trou dans le cou et s’est vidé d’une grande partie de son sang – également, parfois, d’une partie de ses organes internes.
D’après les témoignages, la créature a été vue pour la première fois au début des années 1990, blessant des animaux d’espèces différentes.
Peu après les morts d’animaux à Porto Rico, d’autres carcasses sont découvertes dans d’autres pays, comme en République dominicaine, en Argentine, en Bolivie, au Chili, en Colombie, au Salvador, au Panama, au Portugal, au Pérou, au Brésil, aux États-Unis et, surtout au Mexique.
À Porto Rico et à Mexico, le chupacabras devient une légende urbaine. De nombreux témoignages en font part dans les États du Sud des États-Unis comme le Texas.
En 1997, une explosion des cas d’attaques de chupacabras se produisit au Brésil, et furent rapportés dans les journaux brésiliens. L’un des témoignages venait d’un officier de police, qui prétendait avoir eu un sentiment de nausée lorsqu’il vit un chien – comme un chupacabra – dans un arbre. Il y a plusieurs clichés, tous apparemment truqués.
En octobre 2004, deux animaux qui ressemblaient beaucoup à la créature d’Elmendorf ont été observés dans la même région. Le premier était mort, et le second a été aperçu par une zoologiste locale qui avait été appelée pour identifier l’animal mort, pendant qu’elle se rendait à l’endroit où le premier fut trouvé. Les spécimens furent étudiés par des biologistes du Texas ; ils furent considérés comme appartenant au genre canin, d’une espèce indéterminée avec des problèmes de peau et des malformations faciales.
À la Martinique une légende similaire est attribuée au « lentikri », bête diabolique suçant le sang des animaux le soir.
S’il existe des explications scientifiques expliquant que des animaux sucent le sang de chèvres ou d’autres animaux, le chupacabra reste une légende urbaine fortement enracinée au Mexique, générant parfois des réactions irrationnelles parfois qualifiées d’hystérie collective.
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Pas le genre de bébête que j’adopterai chez moi.
Je ne la connaissais pas cette créature !