Buffy à Poudlard
Soyons honnêtes : si un Choixpeau magique osait hésiter avec Buffy, elle lui planterait un pieu dans la doublure. Résultat ? Il crie « Gryffondor! » Avant même qu’elle ait touché le tabouret.
Courageuse, fonceuse, parfois tête brûlée (elle saute dans des portails dimensionnels comme d’autres font des TikToks), elle incarne l’héroïne Gryffondor dans toute sa gloire capillaire des années 90.
Bonus : elle a la répartie d’un Fred Weasley en talons.
Willow : la sorcière studieuse qu’Hermione respecte en secret
Ah, Willow. Petit rat de bibliothèque devenu puissante sorcière borderline Dark Phoenix. Elle commence Serdaigle, bien sûr, intelligence, curiosité, amour du savoir.
Mais attention : quand elle passe en mode Dark Willow, même les Serpentards ferment leur gueule.
Une Ravenclaw avec un abonnement express aux archives interdites ? Totalement validé.
Alex : Poufsouffle, version donuts et loyauté absolue
Le cœur du Scooby Gang. L’humain banal au milieu des demi-dieux et des tueuses boostées aux stéroïdes mystiques. Et pourtant, il reste.
Fidèle, drôle (parfois à ses dépens), toujours là, même quand il n’a qu’un lance-pierre face à l’Apocalypse.
Poufsouffle, sans l’ombre d’un doute. Avec la carte fidélité.
Giles : Serdaigle à cravate en tweed
Le bibliothécaire british, sarcastique et traumatisé par son passé de punk occulte ? Serdaigle évidemment.
Il cite des grimoires en latin avant le café du matin.
Il a littéralement un chaudron de stress post-traumatique, mais continue à éduquer Buffy avec patience et un flegme digne de McGonagall en pleine migraine.
Spike : Serpentard, mais version rock et chaos
Manipulateur, rusé, ultra stylé avec ses vestes en cuir… et prêt à faire exploser le monde par amour. Spike, c’est le bad boy Serpentard par excellence.
Ambition ? Oui. Morale ? Flexible. Charisme ? Évidemment.
Et puis, il a cette petite obsession pour les femmes badass qui lui vaudrait un fan club à Serpentard.
Angel : Gryffondor mais dans un film de Tim Burton
Torturé, mélancolique, toujours en train de broyer du noir… Mais il se bat. Il protège. Il souffre avec panache.
Un Gryffondor gothique qui dort dans un cercueil de culpabilité.
Bonus : sa relation avec Buffy mériterait un cours de « Dramas romantiques impossibles » à Poudlard.
Anya : Serpentard. Et fière. Et fan de l’argent.
Ancienne démonne vengeresse qui devient obsédée par le capitalisme ? Un génie.
Pragmatique, honnête à la limite du socialement gênant, elle possède une ambition glaciale et un humour tranchant.
Elle serait la présidente du club d’échecs et du syndicat des elfes de maison. Slytherin Queen.
Tara : Poufsouffle douce et lumineuse
La tendresse incarnée. Tara est la définition même de la bienveillance, de la discrétion, de la loyauté.
Une sorcière puissante mais humble, qui panse les plaies au lieu d’en ouvrir.
Si Helga Poufsouffle avait rencontré Tara, elle aurait probablement pleuré d’émotion en tricotant une couverture magique.
Faith : Gryffondor version punk et chaos
La Gryffondor rebelle. Celle qui préfère les combats aux conversations et les sarcasmes aux excuses.
Faith, c’est Buffy avec un filtre cassé. Courage ? Check. Fougue ? Double check.
Goût pour les décisions impulsives qui détruisent des villes ? Évidemment.
Et toi, t’aurais été dans quelle maison ? Parce qu’on sait tous qu’avec Buffy et Hermione dans la même salle commune, le monde serait sauvé (et repeint en rose bonbon).