Déjà publié en 2018 sur Facebook.
« Un innocent est un coupable qui a un bon avocat. »
Résumé de l’éditeur :
Été 1989.
La Corse, presqu’île de la Revellata, entre mer et montagne.
Une route en corniche, un ravin de vingt mètres, une voiture qui roule trop vite… et bascule dans le vide.
Une seule survivante : Clotilde, quinze ans. Ses parents et son frère sont morts sous ses yeux.
Été 2016.
Clotilde revient pour la première fois sur les lieux de l’accident, avec son mari et sa fille ado, en vacances, pour exorciser le passé.
A l’endroit même où elle a passé son dernier été avec ses parents, elle reçoit une lettre.
Une lettre signée de sa mère.
Vivante ?
« Femme qui pleure devant son amoureux obtient de lui tout ce qu’elle veut ; femme qui pleure devant un homme qui ne l’aime plus est foutue. »
« Ma vie toute entière est une chambre noire. Une grande… belle… chambre… noire. »
Mon avis :
Ça a été mon premier Bussi et je pense que j’en lirais d’autres.
Le point fort de cet auteur c’est certainement les descriptions du paysage. J’ai retrouvé les décors de la magnifique île qu’est la corse. Avec Michel Bussi on a les images dans les yeux.
j’ai bien aimé cette alternance des années 1989/2016, et particulièrement l’année 89 ou on est a travers les yeux d’une ado de l’époque. Surement parce que j’avais le même âge que l’héroïne cette année la.. Alors les références cinéma ou musique d’une ado a cette époque-étaient les mêmes que mes souvenirs. « Le grand bleu » par exemple !!
il y a certains moments de l’histoire que j’ai moins aimés et il y a quand même quelques invraisemblances. Mais même si il y a de gros fils de thriller trop connus c’était une lecture très agréable.
C’est un pavé et je ne me suis pas ennuyée ce qui est très bon signe.